
356 pages, éditions Le Livre de Poche à 6,74 ¤
Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vel d"Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie changer à jamais.
ELLE S'APPELAIT SARAH, c'est l'histoire de deux familles que lie un terrible secret, c'est aussi l'évocation d'une des pages les plus sombres de l'Occupation.
Un roman bouleversant sur la culpabilité et le devoir de mémoire, qui connaît un succés international, avec des traductions dans vingt pays.
"Personne n'avait voulu lui expliquer. Elle détestait qu'on la traite comme un bébé. Elle détestait qu'on baisse le ton quand elle entrait dans la pièce."
Il fait parti indéniablement des meilleurs livres que j'ai pu lire jusqu'à maintenant. Elle s'appelait Sarah frappe vraiment le lecteur, et le souvenir de cette lecture m'est encore bien présente, malgré les quelques mois qui me séparent d'elle.
Chabouquine, Posté le lundi 21 novembre 2016 03:49
Il me semble avoir ce roman en e-book. Je me laisserais peut-être tentée un jours vue toute les bonnes critique que j'en entend =)