
240 pages, éditions Denoël.
Résumé : "451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif.
Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé."
J'avoue que je ne m'attendais pas du tout à ce genre d'histoire. Certes, le thème de la dystopie et du futur apocalyptique m'a beaucoup plût : la façon dont la société est décrite, son impulsion mais surtout son pouvoir sur la population est phénoménale. On voit bien que la société déshumanise les gens, ils n'ont plus de sentiments, plus de culture, ils s'endettent pour s'acheter de nouveaux produits... Les médias contrôlent tout !
J'ai beaucoup aimé le côté dystopique, effrayant du livre et le second qui se basait plus sur la psychologie. Un bon livre, que j'ai lu facilement et rapidement, dont je me souviendrais certainement.
jghp1913, Posté le samedi 20 février 2016 12:24
à lire absolument pour comprendre le sens du récit de science-fiction! l'humain dans une situation flou face à une solution difficile est le propre du récit de science-fiction sans extra-terrestres ni armes à rayons lumineux!